Rappel du premier message :

Reika soupira puis sortit de son dortoir en s'ennuyant même après avoir lu au moins un livre de 300 pages, rien à faire. Elle soupira puis alla dans le jardin encore une fois, son endroit préférée et là où elle a rencontrer et avoué ses sentiments à son bien aimé, Aidô.
Elle fit alors apparaître un arc en flèches puis fixa l'arbre en se concentrant... Et puis pouf ! Elle tira. La flèche traversa alors l'écorce de l'arbre, Reika fut fière d'elle voyant qu'elle était toujours aussi forte en tir à l'arc. La flèche fondue mais le trou resta, elle soupira puis se dirigea vers les fleurs puis s'assit sur l'herbe. En parlant de fleur, elle avait toujours la fleur gelée que son bien aimé lui avait donner sur ses cheveux. Reika sourit puis ferma les yeux.

‹‹ ... Cela fait du bien... ››

Reika resta éveillée en continuant de fermer les yeux.

Reika rougissait et continua de fermer les yeux en le serrant aussi dans ses bras puis l'embrassa aussi en rougissant légèrement.

"Cela fait du bien de rester avec toi..."

Aidô rouvrit les yeux et regarda Reika en souriant.

- Je voudrai passer ma vie entière à tes côtés.

Reika regarda Aidô et sourit.

"Moi aussi... Pour l'éternité..."

Elle ferma les yeux et resta contre son bien aimé...

Il referma ses yeux en la gardant contre lui.

- Oui. Toute la vie et même après la mort...

"... Hana-kun... Mais après la mort il n'y a rien non... ?"

Reika regarda Aidô.

Aidô la regarda en sourriant.

- ... Qui sait?

Reika le regarda et rougissait légèrement.

"Ah ... ? Mais je ne peux pas imaginer ce qu'il y a après la mort..."

Aidô lui caressa les cheveux.

- Certaines religions disent qu'on se réincarne. D'autres que l'on va au paradis où en enfer. Tout dépend de tes croyances.

Reika regarda Aidô et rougissait.

"Eh ben... Moi je n'en sais rien..."

Aidô lui sourit.

- Ce n'est rien! Il ne faut pas se tracasser la tête pour ce genre de chose.

"Oui..."

Reika regarda Aidô attentivement.

*Tiens... on dirait que je l'ai déjà rencontré auparavant... ?!*

Aidô sourit et leva ses yeux au ciel.

- Le jour commence à se lever...

Reika regarda Aidô et sourit.

"Oui... Dis ... Je sais pas mais on dirait que je t'ai déjà rencontré... Auparavant."

Aidô regarda Reika en clignant des yeux.

- Hum? C'est-à-dire?

Reika se mit assise.

"Je ne sais pas mais on dirait que je t'ai déjà vu... Petite... C'est vrai que quand j'étais petite j'avais les cheveux courts..."

Aidô baissa les yeux pour réfléchir.

- Difficile à dire... Quand j'étais petit, étant dans une famille d'aristocrate, je prenai des cours à domicile...

"... J'ai dû mal à me souvenir aussi... Mais c'est vrai que j'avais rencontré un petit garçon qui te ressemblait..."

Reika réfléchissait.

Aidô sourit.

- Il n'y a pas beaucoup de différence entre mon physique d'enfant et celui d'aujourd'hui, mis à part que j'ai un corp d'homme maintenant.

"... Tu as déjà vu une petite fille qui me ressemble ?"

Reika regarda Aidô.

Aidô regarda le ciel en réfléchissant.

- Je ne me souviens pas bien, mais probablement...

"Probablement ?"

Reika regarda Aidô et baissa le regard.

Aidô avait les yeux sur le sol et réfléchissait. Puis, il écarquilla lentement ses yeux pour tourner sa tête brusquement vers Reika.

- Ah mais si, je me souviens à présent! Tu es la jeune fille qui rougissait tout le temps et dans laquelle j'ai foncé lorsque j'essaiyai d'échapper à un de mes cours particuliers, dans le jardin public à côté du manoir de mon grand-père!

Reika sursauta en voyant Aidô.

"E-Euh oui c'est ça..."

Elle rougissait et tourna les yeux en entendant ces paroles.

Aidô passa une main dans ses cheveux blonds.

- Incroyable, après tout ce temps!

Reika rougissait encore et regarda lentement Aidô.

"O-Oui..."

Aidó tourna la tête vers Reika en souriant, le regard vague. Il ne savait pas quoi dire. Il avait complètement oublié cette jeune fille jusqu'à maintenant.

Reika regarda Aidô en effaçant son sourire.

"Tu m'as oubliée c'est ça... ?"

Aidô regarda Reika en clignant des yeux. Il comprit qu'elle était bléssée.

- Oh... Eh bien, nous ne nous parlions pas beaucoup, et tu avais disparu sans raisons...